Toy Story.
" Du bonheur à l’état pur,
brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que
la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj,
joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh,
péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la
fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra,
brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et
le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas,
l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché
d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et
le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road,
les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le
Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les
transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les
piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de
Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus
orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et
Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... "